Face à la volonté de certains idéologues français et d' "historiens" révisionnistes algériens ( du FLN)de réécrire l'histoire pour créer une série d'aspects négatifs dans la colonisation,il m'a paru indispensable de publier les témoignages de colonisés démontrant l'inverse.

dimanche 27 juin 2010

UN VRAI ALGERIEN, UN HOMME, YOUSSEF BEN BRAHIM

Youssef ben Brahim, né à Saïda en 1927, rejoint le FLN dès le début en 1954, pensant lutter contre la misère qui touche une part importante de la population en particulier des français musulmans. Mais très rapidement, il découvre que les chefs du FLN sont des ambitieux, des corrompus et des criminels dont la vénalité n'a d'égale que leur brutalité, leur plaisir à torturer des civils musulmans ou non et qu'ils font du terrorisme pour s'enrichir personnellement. Il découvre que ces chefs,Krim Belkacem, ben Bella, Ferhat Abbas.....et tous les autres, bourgeois, sont prêts à tout pour s'emparer de l'Algérie et du pouvoir à leur seul profit.
Ce qui s'est passé après 1962.

Il le leur fait savoir et est alors dénoncé par les Chefs FLN qui veulent s'en débarasser, à l'autorité française qui l'arrête.
Prenant conscience de ce qu'ont fait les Français et des efforts qu'ils poursuivent pour vaincre la pauvreté à l'inverse des Chefs corrompus du FLN, il s'engage dans le commando du lieutenant Grillot, le" commando Georges" avec 200 autres musulmans, commando qui fera trembler l'ALN et le FLN dans toute l'Algérie. Dans le secteur de Saïda qu'il connait bien, il élimine totalement les fellaghas. Cité à l'ordre de l'Armée, nommé sous lieutenant, titulaire de la médaille militaire, il rejoint la métropole avec d'autres harkis,Sireuil en Dordogne.

Les chefs FLN à qui de Gaulle a remis l'Algérie tenteront à 3 reprises de le faire assassiner en France mais il éliminera les 9 tueurs, des petites lopettes.

Ca c'est un vrai algérien, un homme, pas un de ces lâches du FLN qui maintient sous le joug la population musulmane d'Algérie
Par contre:
Qu'a fait la République française en réponse à ces tentatives d'assassinat d'un citoyen français par le gouvernement FLN, alors que les accords d'Evian garantissaient la vie, la liberté et les biens de tout algérien,musulman ou pied noir,accords totalement bafoués par les terroristes

Rien sinon que le Président et le gouvernement ont livré à ces lâches du FLN 70000 harkis,citoyens français de confession musulmane qui ont succombé sous des tortures abominables qui n'ont pas ému le moins du monde les associations des droits de l'homme, ni les idéologues marxistes qui dénonçaient des tortures de l'armée française.
Rien sinon que les politiciens gaullistes ont abandonné les militaires français du contingent et les civils français, musulmans ou non, enlevés par cette vermine du FLN.
Rien sinon qu'ils ont laissé massacrer plusieurs milliers d'Oranais le 5 juillet à Oran dans ce qui fut l'agonie d'une ville.
Rien quand les gendarmes mobiles de l'armée française remettaient au FLN d'Oran des européens qui étaient alors égorgés ou tués par balles.

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MA PROFESSION DE FOI La politique doit être l’action commune , concertée, cohérente exercée par un groupe élu pour mener l’ensemble de la communauté nationale vers un mieux être. Elle ne doit avoir pour objet que le bien commun, l’intérêt de tous. Ce n’est pas et ce ne devrait jamais être cette gesticulation, ce grand spectacle qui consacre tous les mauvais coups licites, pourvu qu’ils amènent ou maintiennent un homme et un groupe au pouvoir. Dans cette recherche effrénée du pouvoir dont il faut s’emparer puis conserver à tout prix, les partis opposés regroupent leurs militants autour d’idéologies mises au service d’ intérêts particuliers et du groupe, n’hésitant pas à faire preuve d’autoritarisme et à désigner des boucs émissaires. La politique est, après la contemplation l’activité la plus noble de la vie disait un politique. Il évoquait sans doute la politique économique authentique vouée au seul service de l’intérêt général, celle qui ne concède pas aux financiers, aux puissants, exigeante en honnêteté qui demande compétence donc savoir et culture pour réussir la régulation économique.